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Se laver deux fois par semaine représente une augmentation de 100 %. Changement pour les détenus

Se laver deux fois par semaine représente une augmentation de 100 %. Changement pour les détenus

Auteur : préparé par JKB • Source : Rynek ZdrowiaPublié : 5 novembre 2025 20:19

Le ministère de la Justice a élaboré un projet de modification du règlement relatif à l'organisation et au bon déroulement de la détention provisoire et de l'incarcération. Le Bureau régional de la police du Zimbabwe (ZRPO) estime que la fréquence des bains proposée respecte au minimum les normes internationales. L'idéal serait donc de permettre un bain quotidien.

Le Commissaire aux droits de l'homme a soumis ses avis sur le nouveau projet d'amendements au ministère de la Justice.
  • Le ministère de la Justice a préparé des projets d'amendements aux règlements concernant, entre autres, les règles d'organisation et de procédure relatives à l'exécution des arrestations et des détentions provisoires.
  • Selon la réglementation en vigueur, un détenu de sexe masculin doit prendre un bain chaud au moins une fois par semaine, et une détenue de sexe féminin doit en prendre un au moins deux fois par semaine, et au moins une fois par jour.
  • Le projet d'amendements prévoit, à titre minimal, la possibilité de prendre un bain chaud deux fois par semaine pour tous les détenus et l'accès à l'eau chaude une fois par jour pour les femmes.
  • De l'avis du Commissaire aux droits de l'homme, il serait souhaitable que les femmes détenues aient un accès permanent à l'eau chaude.
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Comme le souligne la Commissaire aux droits de l'homme, la réglementation actuelle du ministère de la Justice stipule que les détenus de sexe masculin doivent prendre un bain chaud au moins une fois par semaine, et les détenues au moins deux fois par semaine, et au moins une fois par jour avec de l'eau chaude. De plus, les deux projets de loi partent du principe que les détenus (en détention provisoire ou purgeant une peine d'emprisonnement) doivent prendre un bain chaud au moins deux fois par semaine. Le projet de loi ne propose aucune modification concernant l'accès à l'eau chaude pour les détenues, qui doit toujours être garanti au moins une fois par jour.

Il a également été noté que, concernant les femmes enceintes et allaitantes, les projets de loi précisent les règles d'application des dérogations aux procédures légales d'exécution de la détention provisoire ou de l'incarcération, en élargissant la liste des entités habilitées à demander des dérogations ou à donner un avis afin d'y inclure un médecin ou une sage-femme. Ils fixent un délai pour le transfert d'une femme enceinte – au plus tard à la 28e semaine de grossesse – vers un établissement pénitentiaire assurant des soins médicaux 24 heures sur 24, dispensés au moins par une sage-femme, et un accès aux services de gynécologie et d'obstétrique.

Il convient d'ajouter que les projets proposent des solutions plus favorables que celles actuellement en vigueur, et que, par conséquent, le Commissaire aux droits de l'homme évalue positivement l'orientation de ces changements. Il souligne également que la fréquence des bains proposée respecte au minimum les normes internationales. Au regard de ces normes, énoncées notamment dans le Règlement pénitentiaire européen, le modèle à privilégier est la possibilité d'un bain quotidien, précise le rapport.

Le médiateur estime qu'il serait souhaitable que les détenues aient un accès permanent à l'eau chaude. Il a souligné que le manque ou l'insuffisance de protections hygiéniques et autres produits d'hygiène, combiné à l'absence d'accès constant à l'eau chaude pendant les menstruations, peut constituer un traitement dégradant pour les détenues.

Par ailleurs, les Règles de Bangkok insistent sur la nécessité de fournir aux détenues les installations et le matériel nécessaires à leurs besoins spécifiques d’hygiène, notamment l’accès à l’eau. Cette question a également été soulevée dans le rapport de 2016 du Rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, qui abordait le vécu spécifique des femmes privées de liberté.

Le procureur général Wojciech Brzozowski a demandé au secrétaire d'État au ministère de la Justice, Arkadiusz Myrcha, de prendre en considération ces observations à un stade ultérieur des travaux législatifs.

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