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Régime alimentaire favorable à la testostérone. Dangers et opportunités à table

Régime alimentaire favorable à la testostérone. Dangers et opportunités à table

Les bonnes graisses sont essentielles à la production de testostérone. Cependant, cela ne signifie pas que toutes les graisses sont bénéfiques. Les graisses saturées comme la viande rouge et les œufs doivent être consommées en quantité limitée. Un excès de graisses saturées durcit les artères et rend la synthèse de testostérone difficile. En revanche, les graisses mono-insaturées comme l'huile d'olive, les noix, les avocats et les légumineuses peuvent favoriser la production de testostérone. (Source : Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 2017)

Comment les boissons sucrées suppriment les hormones

Les boissons sucrées contenant du fructose et du glucose déclenchent une résistance à l'insuline. Cela augmente les hormones leptine et cortisol, qui inhibent la production de testostérone. Après la consommation de 75 grammes de sucre (10 à 12 morceaux de sucre), une baisse de près de 25 % du taux de testostérone a été constatée en deux heures. (Source : American Journal of Clinical Nutrition, 2015)

Effondrement hormonal dû à l'alcool

L'alcool est l'un des moyens les plus efficaces pour réduire la testostérone. Les boissons contenant des phytoestrogènes, comme la bière, augmentent particulièrement les taux d'œstrogènes. Une consommation chronique d'alcool peut réduire définitivement la production de testostérone en altérant la fonction testiculaire. (Source : Cleveland Clinic – Alcool et hormones mâles)

Est-ce que trop de caféine est nocif ?

La caféine, bien qu'ayant un effet stimulant à court terme, augmente la sécrétion de cortisol, ce qui inhibe la testostérone. Une consommation supérieure à 200 mg de caféine par jour (environ deux grandes tasses de café) peut affecter l'équilibre hormonal. (Source : Mayo Clinic – Caféine et système endocrinien)

Carences en vitamines qui diminuent la testostérone

Vitamine D : Sans vitamine D, l’organisme ne peut produire de testostérone. Sa carence est fréquente. Magnésium : Augmente le taux de testostérone libre. Une carence entraîne fatigue et perte musculaire. Zinc : Joue un rôle direct dans la synthèse de la testostérone. Chez les hommes carencés en zinc, les taux d’hormones peuvent chuter jusqu’à 50 %. (Source : International Journal of Endocrinology, 2018)

Oestrogènes cachés : contenants en plastique, aliments préparés

Certains additifs et le BPA, présent dans les contenants en plastique, ont un effet similaire à celui des œstrogènes sur l'organisme. Ces substances peuvent perturber l'équilibre de la testostérone. Les contenants en plastique chauffés au micro-ondes sont particulièrement dangereux. Les aliments préemballés peuvent également contenir des substances chimiques similaires. (Source : Endocrine Society – Perturbateurs hormonaux environnementaux)

12 aliments favorables à la testostérone

1. Jaune d'œuf 2. Poisson gras (saumon, sardine) 3. Huile d'olive 4. Épinards et blettes 5. Avocat 6. Ail 7. Noix 8. Graines de citrouille 9. Avoine 10. Jus de grenade 11. Brocoli

12. Chocolat noir (au moins 70 % de cacao)

Ces aliments favorisent la production de testostérone grâce à leurs effets antioxydants et à leur teneur en vitamines et minéraux. Cependant, il est essentiel de contrôler les portions et de les consommer de manière équilibrée. (Source : Harvard Men's Health Watch – Aliments stimulant la testostérone)

Compléments alimentaires : mythe ou réalité ?

Certaines études montrent que les compléments alimentaires à base de plantes, comme le tribulus terrestris, l'ashwagandha et la racine de maca, augmentent la testostérone. Cependant, cet effet est généralement de courte durée et plus prononcé chez les jeunes. Les bénéfices à long terme chez les hommes de plus de 50 ans n'ont pas encore été déterminés. L'avis d'un médecin est recommandé avant toute utilisation de compléments alimentaires à base de plantes. Certains produits peuvent affecter les enzymes hépatiques ou interagir avec des médicaments. (Source : National Institutes of Health - Compléments alimentaires à base de plantes et testostérone)

Demain:

- Quand les traitements par aiguilles sont-ils recommandés ? - Quelles sont les options possibles si les méthodes naturelles ne suffisent pas ? - Risques et suivi de l'hormonothérapie

- Choses à savoir avant de prendre une décision

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