Miley Cyrus explique pourquoi le jardinage est le « remède » qui l'aide à rester sobre

LE RÉSUMÉ

• Miley Cyrus a expliqué comment le jardinage l'aide à maintenir sa sobriété dans une nouvelle interview pour CR Fashion Book .
• La star a également évoqué sa carrière de divertissement non-stop : « J'ai pris cet engagement profond, et je ne l'ai jamais remis en question ni réexaminé », a-t-elle déclaré.
• Cyrus a parlé du moment où elle pourrait quitter l'industrie et de ses sentiments à ce sujet.

Miley Cyrus est complètement sobre depuis cinq ans, un choix qui, selon elle, a « changé ma vie ». Dans une nouvelle interview avec Pamela Anderson pour CR Fashion Book , la chanteuse s'est confiée sur une activité qui l'a aidée à rester sobre : le jardinage.

Cyrus l'appelait son « remède », expliquant : « Le jardinage est une activité que l'on pratique pour soi. Quand on partage autant de soi, ces petits moments précieux avec quelque chose de simple – comme planter une graine et la cultiver – deviennent un processus très personnel. C'est ce remède qui m'a permis de rester ancrée dans mon mode de vie sobre. Cela fait partie d'une pratique, comme le yoga : sortir dans la nature, faire quelque chose de ses mains et trouver un exutoire créatif qui ne soit pas lié à la célébrité ou au succès. C'est une véritable victoire de planter une graine et de voir des fleurs au printemps. »

La star a également évoqué sa carrière ininterrompue, qui a débuté enfant lorsqu'elle a joué dans Hannah Montana sur Disney Channel. En grandissant, elle s'est interrogée sur sa volonté de continuer à exercer une profession aussi publique.

« En faisant les choses à ma façon, grâce à mon propre processus, non seulement la création que je partage, mais aussi la conception de ma vie, je suis constamment en train de repenser, de réimaginer, de réinspirer », a-t-elle expliqué. « L'autre soir, j'étais au lit et je me suis dit : "Waouh, j'ai vraiment sauté dans le train à 11 ans, et je n'en suis jamais descendue." J'ai pris une décision à 11 ans, et je n'ai jamais arrêté. J'ai pris cet engagement profond, et je ne l'ai jamais remis en question. Ce n'est qu'à la fin de la vingtaine et au début de la trentaine que j'ai commencé à me questionner : "Est-ce toujours ce que je veux ?" Jusqu'à présent, la réponse est oui, mais je n'ai pas peur du jour où ce sera non. Je ne sais pas si ce jour viendra, où je n'aurai plus autant de cœur. Comme tu l'as dit, il pourrait arriver un moment où tout cela ne m'intéressera plus, et ce n'est pas grave. »