Mon petit larcin : «On se dit directement que c’est la honte, qu’on est dans la mouise»
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Des bonbons chez l’épicier, une pièce dans le portefeuille des parents, un bibelot dans une boutique… Presque tous, sinon tous les enfants et ados, ont déjà commis un petit larcin, parce que cela leur faisait envie ou pour se la jouer auprès des copains. Que l’on se soit fait attraper ou non, ces petits vols restent souvent gravés dans notre mémoire. En septembre, un buraliste d’Uzès, dans le Gard, a ainsi reçu une lettre d’excuses et 50 euros d’un homme qui lui avait volé des sucreries étant enfant… Libération a recueilli des histoires de menus larcins. Dans cet épisode, Prudence (1) raconte un vol de perles qui pèse encore lourd sur sa conscience.
«Je suis au collège, j’habite Paris à l’époque et, avec ma mère et mon frère, qui a 2 ans et demi de moins que moi, notre sortie préférée c’est d’aller à Cultura. Ma mère fait pas mal d’ateliers manuels, elle aime beaucoup le scrap
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